J'ai baisé avec un agent de sécurité et c'était génial


A cette époque, je n'avais pas ce fantasme qu'ont bon nombre de gens. Je ne m'étais jamais demandé si une profession en particulier m'excitait : je baisais et je ne me concentrais que sur le plaisir ressenti.


Tout a changé un vendredi soir où j'étais de mauvaise humeur. Je devais me rendre au Yanko mais la putain de grève SNCF a annulé le train que je voulais prendre et je n'étais franchement pas tenté par le taxi. Je me suis finalement rendu au vidéo club de Pontoise où j'avais mes habitudes dans l'espoir de me prendre quelques dvd réconfortants. Comme par hasard, mes titres favoris avec Rocco Siffredi, Brandon Iron ou Vince Vouyer avaient tous été loués et il ne restait que de vieilles productions bâclées avec HPG... Je suis quand même reparti avec un best of de scènes avec Ian Scott qui ne m'a pas calmé du tout. Je pensais à toutes les queues que j'avais ratées au Yanko et ça m'exaspérait au plus haut point. J'ai appelé mon réseau de téléphone rose préféré mais personne ne parvenait à m'extirper de ma déprime liée à mon manque de sexe.

Vous vous rendez compte ? Vous avez envie de vous faire enculer violemment, qu'on vous baise en susurrant des choses crades à l'oreille, vous êtes à deux doigts de partir sucer de la queue à vous en péter la gorge et voilà qu'une grève tombe et vous casse le moral. Il n'y a pas de quoi déprimer ? Surtout que rien ne présageait un tel événement...

J'étais donc de sale humeur. Je me suis donc rendu au Mac Do, me disant que de croquer dans un bon burger m'aiderait à chasser ma déprime. Que nenni ! A peine arrivé, un vigile descendait le grillage et m'ordonnait de partir. Il ne m'a fallu que deux secondes pour m'énerver contre ce type qui me traitait avec condescendance et que je venais d'insulter de pauvre con. Pourtant, il faut dire qu'il était sexy, athlétique et son sens de l'autorité m'excitait un peu. L'énerver me faisait du bien car je le voyais perdre ses moyens. Et je sentais bien qu'il me désirait comme d'autres avant lui m'avaient désiré.... Sauf que cette fois-ci, contrairement aux fois où j'étais en face d'un inconnu, je sentais que ça pouvait mal se passer...



Le vigile m'a suivi alors que le centre commercial était presque désert. Je l'entendais hurler toutes sortes de remarques et d'injures qui me faisaient rire. Puis, quand je me suis installé dans ma voiture et que j'ai remarqué qu'il était devant, je n'ai plus ri. J'avais peur. Je suis sorti dans l'espoir de calmer le jeu.


Lui : Et tu bouges du cul exprès ou c'est naturel ?

Moi : C'est naturel. Enfin, ça m'arrive surtout quand j'ai pas eu beaucoup d'action... Comme ma bouche : je parle beaucoup parce que je ne l'ai pas assez remplie aujourd'hui...

Lui : T'aimerais que je te la remplisse ?

Moi : Que ma bouche ? Je suis aussi très profond quand on me prend par derrière...

Lui : Ah....


Deux minutes après, j'avalais une énorme queue dure comme du béton sur le siège passager de ma vieille Corsa. Le vigile gémissait et me laissait sucer sa bite à ma façon, parfois en m'inspirant de Patricia Kennedy dans New Wave Hookers 2 ou parfois en me touchant les pectoraux, la langue collée à ses boules. Il a tellement aimé qu'il m'a retourné, a retiré mon pantalon et a fourré sa tête et sa langue au plus profond de mon cul. Je ne vous raconte pas les mouvements que ma voiture faisait...

Le vigile m'a enculé en levrette pendant que je regardais si quelqu'un arrivait. Fort heureusement, ma boite à gants est toujours pleine de capotes et de gel car j'adore le sexe mais j'aime encore plus prendre soin de ma santé sexuelle... D'ailleurs, mon vigile a eu besoin de beaucoup de gel pour rentrer en moi et il a du me masser les boules pour m'exciter et me dilater... On a jouit mutuellement en se regardant les yeux dans les yeux et je l'ai déposé plus loin. Depuis, quand je le croise au Mc Do, je m'assure qu'il me voit bien en train de lécher mon Mc Flurry avec passion...

Ce qui m'excitait, c'était de passer de l'enguelade au sexe comme ça en un éclair, dans un parking sous terrain ouvert au public, qu'on pouvait nous surprendre mais que je n'en n'avais rien à foutre (d'ailleurs, j'ai déjà été surpris et ça s'est très très bien terminé...). Moralité de l'histoire : il y a du sexe partout, il suffit de le chercher.


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