Ma première sodomie



J'en avais vraiment envie. J'étais jeune. J'étais en vacances dans le sud de la France. 

J'étais chez des amis de ma famille. J'avais déjà eu un premier rapport mais sans pénétration. Je n'étais pas tout à fait vierge mais pas tout à fait expérimenté non plus. J'avais sucé et j'avais été sucé. C'était génial mais j'avais vraiment envie d'aller plus loin et de me faire bourrer le cul comme dans les pornos, histoire d'avoir un "vrai" rapport sexuel.

Mais j'avais peur. La douleur, le préservatif qui craque, la saleté, tout ça m'angoissait. Mais j'en avais encore plus envie. D'autant plus qu'on me faisait des remarques sur mon cul. On le trouvait particulièrement bien bombé pour mon âge, comme si on voulait me dire par là qu'il fallait que j'apprenne à m'en servir. Alors j'ai commencé à le remuer un peu, à porter des pantalons très serrés et des shorts moulants. C'était l'été et on était au début des années 2000.

L'idée de me faire enculer me poursuivait. Les images les plus perverses matraquaient mon esprit. Je repensais à ce que j'avais vu dans les pornos ou ce que mes amis me racontaient. On me disait qu'il fallait vraiment en avoir envie et trouver quelqu'un qui sache s'y prendre en douceur. Et j'avais encore plus envie de me faire enculer.



A la nuit tombée, toujours dans le sud de la France, j'aimais me promener dans mon short en coton très transparent avec un shorty noir en dessous que je portais comme un tanga. J'aimais me promener pas loin de ces trottoirs où trainaient les prostituées et me dire que c'est moi qu'on klaxonnait ce soir-là comme pour me sentir désiré. Je marchais lentement, presque normalement, espérant qu'un homme n'en puisse plus et finisse par me supplier de lui offrir mon trou pour qu'il puisse y insérer sa queue que j'imaginais énorme et dure comme le fer.



Un dimanche matin, en rentrant du marché, j'ai trouvé un petit carton avec des cartes téléphoniques. Une vingtaine. La première marchait alors plutôt que d'appeler chez moi, j'ai commencé à appeler ces réseaux téléphoniques remplis d'amateurs de sensations fortes. J'étais dans le trou du cul du monde en plein mois d'Août mais c'est mon trou à moi qui m'importait. Pour une unité, je pouvais parler deux minutes alors j'économisais mon temps : je voulais juste quelqu'un qui puisse m'enculer et le plus rapidement possible. D'urgence.

Je ne réclamais pas la lune puisque je donnais la mienne. Qu'est-ce que je voulais, après tout ? Ah oui : qu'on m'encule bien profondément. Je voulais un beau mec bien musclé, du style sauveteur des mers, short rouge plein à craqué, longue queue et boules rasées, cheveux longs et barbe, des bras puissants et des mains fermes pour me claquer le cul. Un Vince Vouyeur qui se serait retrouvé comme par magie en France et qui aimerait à présent les mecs et qui apprécierait tellement mon cul qu'il finirait par m'apprécier moi-même. Je ne me doutais pas que ce qui m'attendait était encore mieux...

En effet, au bout d'une conversation de 10 minutes avec un type, j'ai eu mon rencard. Il avait la quarantaine, travaillait dans le coin, avait une tête de mec très ordinaire, avait de l'expérience et avait envie de moi. On s'est donné rendez-vous près d'un bois. Je l'ai sucé dans sa voiture alors qu'il avait encore son costume. Je pouvais sentir son after shave. J'aimais sentir sa main avec son alliance dans mes cheveux et encore plus quand il forçait sa queue dans ma gorge tout en me caressant le cul. Il m'a immédiatement demandé d'arrêter car il trouvait ça trop bon et risquait de gicler tout de suite. J'avais à peine 15 ans mais apparemment, j'étais déjà doué pour mon âge. Quel compliment !

Je suis sorti de sa voiture et il m'a pris contre son coffre. Au début, c'était assez simple... Il m'embrassait la nuque et le dos tout en baissant mon short. Il n'y avait presque pas de lumière. Quand j'ai senti que sa ceinture était desserrée  mon coeur a fait un bond dans ma poitrine. Je l'ai vu mettre un préservatif et alors que je m'attendais à me prendre un coup de bite, mon baiseur a eu la classe de me demander si j'étais prêt à accueillir une bite du sud dans mon cul de parisien.



Il m'a enculé contre son coffre pendant une dizaine de minutes et alors que je n'étais pas lubrifié et qu'il avait une queue plutôt large et assez longue, je n'ai pas eu de douleur mais côté plaisir... C'était comme si je découvrais la vie. J'ignorais que j'avais ça en moi. D'autant plus que mon baiseur faisait ça très bien : il m'enculait et d'une main me malaxais les couilles et la queue tout en m'embrassant. Avant qu'il ne jouisse, je lui ai demandé s'il pouvait me gicler au visage tellement j'étais excité. Nous avons jouit en même temps pendant. Je venais de vivre ma première faciale en même temps que ma première enculade et c'était merveilleux.

Mon baiseur rhabillé et mon visage nettoyé, j'ai été déposé en centre ville. Bien entendu, je n'ai plus jamais eu de nouvelles de mon baiseur qui ne m'avait pas laissé de numéro de téléphone (les portables n'étaient pas encore répandus) même si j'y croyais un peu. Quoiqu'il en soit, je lui suis extrêmement reconnaissant pour ce moment de plaisir délicieux et pour cette première sodomie qui m'a ouvert la porte sur un monde inconnu, presque féérique tellement j'en étais heureux. Depuis, ce moment, je fantasme sur mon baiseur, me demandant s'il se souvient de moi et si, quand il baise sa femme, pense à moi et si je suis dans son TOP 5 des meilleurs plans culs de sa vie... Car il est certainement dans le mien.

Merci.

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1 Commentaires

  1. Sympa ta 1ère fois ! Belle histoire ! merci pour ton message ! A bientôt. Gilles

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