Le mec de l'immeuble d'en face


Ce type habitait à deux pas de chez moi; je le voyais promener son chien matin et soir. Quelque chose dans sa démarche m'excitait et je me demandais toujours s'il avait quelqu'un dans sa vie. Quand je le voyais rentrer du sport, transpirant sous sa tenue de foot ou quand je le croisais dans le train et qu'il me souriait, je me sentais frissonner un peu. Encore plus quand je l'espionnais pendant sont jogging et que je m'apercevais qu'il ne portait rien en dessous.

Pour moi, il n'était pas question que le fantasme reste fantasme; j'allais me taper ce mec et le moment allait venir. Au pire, le regarder au ralenti, c'était une façon d'entraîner mon esprit à vibrer en attendant ma prochaine aventure. Même s'il était impensable qu'il se passe quelque chose avec cet homme dont j'ignorais le nom et qui ne me semblait pas vraiment du même bord, je sentais que quelque chose était encore possible.

J'avais envie de lui. Quand je voyais ses mains, propres et viriles, sa démarche, son cul bien moulé dans ses vêtements, la forme de ses pectoraux, sa bouche brillante, ses cheveux bien coiffés, je bandais. Je me plaisais à croire qu'il devait me regarder un peu quand je faisais semblant d'aller jeter une lettre à la poste et qu'il matait mon cul bien serré dans un jean taille basse. Je faisais même semblant de me baisser en espérant qu'il regarde bien ce que je lui offrais. Quand je dégustais un cornet de glace dans la rue et que je le voyais au loin, je m'arrangeais pour apparaître doucement dans son champ de vision et qu'il voit avec quelle aisance et quel bonheur je pouvais gober une boule entière. 
J'espérais que le soir, après son sport, il me croiserait puis finirait par se doucher et se branler sur moi en imaginant tout ce qu'il aurait envie de me faire subir et en fantasmant sur tout ce que j'aurais envie de lui faire.




Ne me demandez pas comment c'est arrivé mais c'est arrivé. On a sympathisé un soir où, justement, j'errai pas loin de chez moi, fraichement vêtu, en début de soirée, aux alentours du mois de Juin. Je buvais une bouteille d'eau gazeuse et je me suis débrouillé pour la boire comme si je taillais une pipe passionnée. Toujours en donnant l'impression de me croire seul.

On a papoté. Il s'appelait Daniel. Je ne me rappelle plus de ce dont on a parlé car je ne me rappelle que de ce que je me disais; je n'arrêtais pas de me demander d'arrêter de bander, j'espérais que mon cul était propre, que Daniel en avait une bonne, qu'il savait s'en servir et qu'il allait me faire jouir autant que je comptais le faire jouir.

Très rapidement, j'ai senti que c'était plus qu'une simple discussion. Daniel m'a proposé d'aller dans le petit garage qu'il louait, juste en dessous de son immeuble. Je l'ai suivi. Sur place, je me suis débrouillé pour m'asseoir et commencer à lui jeter des regards lourds de sous-entendus. Je n'ai même pas eu le temps de tourner la tête sur la gauche qu'il avait déjà sorti sa queue qu'il agitait dans ma direction. Il bandait. J'étais flatté.

Je me suis levé, j'ai souri et je me suis retrouvé plaqué contre le mur à l'embrasser. Daniel sentait bon, avait les couilles intégralement rasé et un aspirateur à la place de la bouche; il s'est baissé et m'a offert l'un des anulingus les plus profonds, les plus mouillés et les plus délicieux de ma vie. C'était tellement bon que je ne voulais pas me branler de peur de jouir immédiatement. Quand j'ai senti que j'approchais de l'orgasme, je l'ai sucé. Il était complètement allongé sur son banc de musculation. Je le suçais tandis qu'il me regardait et je me rappelle encore de tout ce qu'il me disait :


« C’est ça, suce-moi bien... Vas-y, continue, tu fais ça très bien... Hum, tes coups de langue, c’est parfait, continue... Prends bien mes couilles... Je savais que tu étais une petite salope... »

Et j'ai arrêté. Daniel m'a regardé et m'a demandé ce qui n'allait pas. Je me suis approché de lui, je l'ai tenu par les couilles et je lui ai dit de ne plus jamais me traiter de petite salope. Il a eu un mouvement de recul. Je l'ai embrassé. Je lui ai dit que je n'étais pas une petite salope mais SA grosse salope.

Et là, je me suis appliqué à le sucer encore plus profond, faisant cogner son gland contre le fond de ma gorge, pendant qu'il me doigtait. Ses doigts étaient chauds, baveux et s'enfonçaient bien dans mon cul pendant qu'il me branlait. La minute d'après, après avoir mis un préservatif, il m'a pris en levrette puis s'est allongé pour que je le chevauche. Autant vous dire qu'on a jouit très rapidement.

On a recommencé une heure après, puis deux fois après. J'étais encore partant pour une dernière fois mais Daniel devait rentrer. Je lui ai demandé de me laisser le sucer encore un peu le temps de jouir une dernière fois, ce qu'il m'a laissé faire. Puis, je lui ai dit que j'étais à sa disposition s'il avait envie de baiser. Je lui ai dit que j'étais SA pute à lui, sa salope, sa chienne, son trou, son garage à bite et qu'il pouvait me baiser tous les jours après le lycée.

Et c'est ce que Daniel a fait tous les jeudis soirs et dimanche soirs pendant des semaines. En public, on faisait semblant de ne pas se connaitre mais une fois dans son garage... Les murs étaient couverts de sperme. Daniel m'a tellement bien baisé... On s'amusait à regarder des pornos et à reproduire les scènes qui nous excitaient, comme celle entre Tom Chase et Mike Branson dans California Kings :


Et puis, un jour, ça s'est arrêté. Comme toutes les bonnes choses. Daniel a déménagé, je suis passé à quelqu'un d'autre. Je n'ai qu'un seul regret : que Daniel ne soit pas parti se faire dépister parce que sinon, il m'aurait rempli le cul de sperme et j'aurais tout avalé jusqu'à la dernière goutte. Parfois, je me dis que nos baises auraient été plus hards mais dans le fond, je crois que ce qui compte, c'est que l'on se soit donné du plaisir entre adultes consentants pour la durée qui nous a été allouée. Et j'en ai adoré chaque seconde.



Enregistrer un commentaire

0 Commentaires