Et c'était génial. C'était mon professeur de sport. J'étais en seconde et dès le premier cours, j'ai remarqué que le prof me regardait d'une façon très particulière...
J'étais jeune et je savais bien interpréter un regard, contrairement à mes camarades qui en étaient encore à l'ère des textos. Mon prof ressemblait un peu à Bruce Willis, ce qui m'excitait vu que j'adorais Color of Night, film érotique bidon du dimanche soir que j'ai vu des centaines de fois pour la scène de la baise... Alors, j'ai joué le jeu.
Donc, à la fin du cours, M. Parmentier m'a demandé si je m'entrainais beaucoup. Il faut dire que, pour mon âge, j'avais un cul très bombé, certainement à cause de la gym que je pratiquais et des queues que je me prenais. J'ai répondu "oui" tout en le laissant me regarder de haut en bas. A ce stade, je savais ce qu'il voulait et je voulais lui laisser croire que je ne remarquais pas qu'il était en train de me séduire. Il faut toujours faire ça : leur donner l'impression qu'ils vous dominent alors que cérébralement vous êtes le dominant.
Puis, comme par hasard, on n'a pas cessé de se croiser toute la semaine. A l'heure du déjeuner à la cantine, pendant la récréation sous le préau, devant le lycée le matin. Un jour, M. Parmentier m'a même demandé si j'étais la personne qu'il avait cru voir courir près du gymnase samedi dernier aux alentours de 11H. C'était là pour lui un moyen de me dire : "Rendez-vous samedi prochain à 11H". J'ai répondu que ce n'était pas moi mais M. Parmentier a fait semblant de ne pas m'entendre et a continué sur sa lancée en me disant : "Tu sais, c'est parfait pour moi : j'ai les clés du gymnase, il n'y a personne, je peux prendre ma douche tranquillement...".
Croyez-le ou non, j'ai refusé de m'y rendre le samedi d'après. Ca me paraissait louche. Trop facile. Ca sentait le piège. Et puis, en bonne chienne, j'aime qu'on me fasse du pied, qu'on insiste, qu'on galère un peu. J'aime bien frustrer un mec, le pousser jusqu'au bout de son impatience jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus.
Mon prof me relançait gentiment après chaque cours. Heureusement que personne n'a remarqué... L'hiver est passé, les samedis aussi et j'ai fini par me décider. Au préalable, j'étais prêt : épilé, soigné, beau, le cul bien écarté. J'ai fait mon jogging du samedi matin devant le gymnase. La voiture du prof y était. Je me suis arrêté quand je l'ai vu au loin. J'ai fait semblant de ne pas le voir. J'ai terminé ma course par des étirements. Le short que je portais montrait bien que j'étais nu en dessous. Ca se voyait avec le vent qui passait et caressait mes fesses qui apparaissaient quand je me penchais. J'avais toujours mon baladeur CD sur les oreilles quand mon prof est arrivé et qu'il m'a applaudit. Il m'a dit que j'avais sans doute besoin d'aller prendre une douche. J'ai refusé en mode "je ne veux pas vous déranger et je n'ai pas de savon, ni rien sur moi...". Le prof a insisté et m'a dit que je pouvais rentrer dans le gymnase mais que dans 10 minutes, les portes seraient verrouillées automatiquement.
Il me restait donc plus que dix minutes. Là, c'était clair. M. Parmentier me désirait. Jamais quelqu'un n'avait autant insisté pour que j'aille me doucher. Mais j'avais quand même peur. Imaginons qu'il y ait des caméras, que cela tourne mal, etc. J'étais sexuellement excité et j'avais quelques appréhensions, comme lorsque l'on fait des rencontres via le téléphone rose ou quand on se rend en backroom pour la première fois...
Mais ça s'est bien passé. Parmentier m'attendait quand je suis arrivé. Il prenait sa douche. Je l'ai un peu regardé, puis quand il a deviné ma présence, il est venu me chercher. Je me rappelle encore du bruit de ses tongues mouillées contre le sol quand j'étais en train de défaire mes lacets en position aguichante. Il a souri et j'ai su...
Je me suis déshabillé en mimant la pudeur puis j'ai été dans mon bloc pour prendre ma douche. On se regardait. Puis, j'ai multiplié les poses sexy histoire de dire que c'était bon. J'ai entendu le signal qui vérouillait les portes puis la lumière s'est éteinte. J'ai découvert un sexe bien gros, du même calibre de celui de Rocco Siffredi. Une bonne queue bien dure, longue, aux couilles sans poils et je me suis baissé pour commencer à la prendre en bouche. Croyez-moi ou non, j'ai ouvert la bouche et demandé si M. Parmentier voulait vraiment que je fasse ça et il ne m'a pas laissé finir ma phrase pour s'enfoncer jusque dans ma gorge. D'un coup. C'était très agréable. J'ai commencé par le sucé puis il m'a attrapé et nous avons fait un 69 debout !
Imaginez : faire un 69 debout avec son prof de gym, dans la quasi obscurité, sous l'eau chaude. Il a rapidement fait glisser sa langue sur mon cul et m'a pénétré avec sa langue. Je l'entendais gémir quand je le suçais, à tel point qu'on a fini par s'allonger. Là, on a pu se faire un 69 tout en se regardant. Parmentier me doigtait tout en me suçant et moi je me retenais de hurler de plaisir. On a jouit simultanément l'un sur l'autre avant de prendre une vraie douche...
Inutile de vous dire que j'ai eu de très bonnes notes de sport toute l'année et que Parmentier me défendait beaucoup lors des conseils de classe. On a baisé une fois dans sa voiture et une fois chez lui pendant que sa femme était dans la pièce d'à côté. Je lui léchais son alliance pendant qu'il me bouffais le cul en se branlant et, comme d'autres mecs avant lui, je l'entendais me dire combien il pensait à moi quand il baisait sa femme et combien il aurait aimé qu'on se retrouve ensemble dans un lieu clos, avec une parfaite insonorisation pour pouvoir baiser à fond.
Puis, Parmentier est parti. Entre temps, on a passé de bonnes heures à baiser et il a beaucoup aimé me défoncer avec un plug dans notre chambre d'hôtel de banlieue. J'étais d'ailleurs tellement doué au pieu que j'arrivais à le manipuler pour faire changer certaines de mes notes (si, si, c'est faisable...).
Personne n'a jamais su pour nous. Dans le nouveau lycée où il enseigne, je sais qu'il a bonne réputation et je n'ai jamais rien entendu de louche, même en essayant de pousser la discussion au plus loin possible. Parfois, quand je le croise, je fais comme si je ne le connaissais pas. Non pas que je regrette d'avoir baisé avec lui mais pour lui laisser entendre que je me suis tellement fait baiser par tous les trous, dans tous les sens et par tout le monde que je ne me rappelle plus de lui...
Parce que c'est ce que les chiennes font.
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