Tournante ou gang bang ? Peu importe : je me suis fait défoncer par cinq mecs à Argenteuil et c'était un régal inégalable. Imaginez : cinq queue épaisses, dures, droites, baveuses, des couilles remplies de sperme brulant qui ne demande qu'à être éjecté et des machos monstrueusement excités qui m'ont fait vivre un vrai paradis sur terre.
A l'époque, j'étais lassé des bites molles que je croisais quand je me rendais au Dépôt ou que je traînais dans les coins chauds de la capitale. Je me tapais un mec qui habitait pas loin de chez moi et baiser avec un mec aussi viril n'a fait qu'accroitre mon besoin de me faire bien défoncer et par le plus grand nombre.
Je travaillais à Argenteuil, ville de banlieue. J'y allais en train tous les jours, je traversais un quartier à pied, je déjeunais à midi au bureau et le soir, je rentrais avec le même train. Entre temps, je croisais quelques mecs, au bureau de tabac, devant certains immeubles, à l'arrêt de bus. La première chose que j'ai remarquée, c'est que plusieurs mecs se touchaient le paquet en me regardant, parfois en se pourléchant les babines... Je savais pertinemment ce que cela voulait dire mais je faisais mine de ne pas y prêter attention car une chose est certaine : si on se donne rapidement, on finit par se faire baiser de façon très bâclée. Et vous savez que j'ai horreur d'être bâclé.
Le soir, je rêvais de me faire prendre en gang bang par tous les mecs que je voyais. Je voulais qu'ils me baisent dans tous les sens, à tour de role, dans des positions originales, à un rythme soutenu avant que je ne me tape un mega cocktail de sperme en faciale. Je pensais que ce n'était qu'un rêve.... Alors comment provoquer la réalité ?
J'ai commencé par sympathiser avec un mec que je croisais au Kebab. En fait, il m'a vu lécher ma sauce mayonnaise et a compris que c'était maintenant ou jamais. Il me déposais parfois chez moi. Je l'allumais. Je lui disais que je détestais l'hiver parce que je dormais nu mais seul dans le froid. J'en profitais pour dire tout un tas de saloperie, pour parler des strings que je portais, pour marcher en tortillant du cul jusqu'à ce que je sente qu'il ait envie de moi.
Vous pensez que je me suis donné ? Pas aussi facilement. Je lui ai expliqué que je ne peux pas. Pourquoi ? Parce que j'aime faire ça à plusieurs. Mais attention : pas avec deux mecs ou trois, non. Avec quatre mecs au moins. Mon nouvel ami était surpris...
Alors chaque jour de la semaine, je me faisais encore plus désirer. Je me demerdais pour que mon ami me fasse une réputation de salope. J'étais une chienne mais pas une chienne facile : une chienne qui en demande et qui est exigeante. Un soir, je sentais qu'il y allait avoir de l'action. Dès mon entrée dans le Kebab, j'ai eu l'impression d'arrêter le temps. J'ai commandé un merguez frite. Le cuisto m'a demandé comment je voulais ma merguez et j'ai répondu que je l'aimais bien grosse et pleine de jus. Tout le monde m'a entendu...
Cela a prit du temps mais en milieu de soirée, j'étais assis sur le congélateur du Kebab Shop dans l'arrière boutique devant quatre mecs qui se branlaient en me regardant. Je me caressais après m'être léché les doigts et me doigtait tout en étant habillé. Je les ai sucés tous. Je taillais des pipes en branlant deux queues en même temps. J'en prenais deux. Je m'amusais à les frotter les unes contre les autres et je m'amusais du plaisir inattendu qu'éprouvaient mes baiseurs quand ils se touchaient par accident.
Cette tournante était tellement délicieuse qu'on l'a refaite un mois plus tard, près des bords de l'Oise, gros lieu de baise de la région de Pontoise mais sur une péniche, presque à la vue de tout le monde. Et vous savez quoi ? C'était tout aussi bon !
0 Commentaires