Regardez-le bien.
C'est vrai qu'il était gay for pay. C'est vrai qu'il ne s'est jamais fait prendre (ce n'est pas le seul... Sebastian Kross, Jimmy Durano, Tony Mecelli, etc...). C'est vrai qu'on a envie de rire quand on le voit faire semblant de bouffer un cul ou de prendre du plaisir à doigter. C'est vrai qu'il a rarement sucé...
Je m'en fiche. Mike Branson a fait du bon boulot. Baisé à fond. Toujours présenté un physique au top avec une queue brillante avec laquelle plus d'un d'entre nous aimerait passer des nuits torrides. Sa scène avec Tom Chase ? Un chef d'oeuvre. Son best of ? Un classique dont je n'ai jamais su me passer.
Regardez-le bien.
Et ça s'est arrêté juste avant les années 2000. Branson avait de quoi rembourser ses dettes et avait besoin de s'affranchir de l'industrie porno gay. Sauf que là, on le rejette. On a peur de lui, on s'imagine qu'il est malade, il perd plusieurs emplois car il est reconnu. Il investit le peu d'argent qu'il lui reste dans ses études, voyage aux Emirats Arabes Unis, passe du temps en Amérique du Sud dans le cadre d'une mission humanitaire puis rentre définitivement aux Etats Unis, décroche son master et "se range".
Bravo à lui mais dommage pour nous !
Je ne remercierai jamais assez la personne qui a jeté son exemplaire d'une revue porno gay dans la rue. Si je n'étais pas tombé dessus, jamais je n'aurais eu autant de plaisir et de bonheur à m'intéresser au porno en général et à Mike Branson en particulier. Aujourd'hui, il fait encore partie de mes plus grands fantasmes.
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